La cigarette électronique, dans l’attente du verdict

Le 09 décembre prochain sera la date au cours de laquelle la décision du tribunal de commerce de Toulouse sera prononcée en ce qui concerne la poursuite d’un brutaliste contre une boutique de cigarettes électroniques ! Ce sujet a fait l’objet de plusieurs débats.

Au cours de la journée du samedi 02 novembre, France-trois Languedoc-Roussillon a remis l’accent sur les différents enjeux du procès, surtout d’un point de vue brutalistes dans son JT de 12 heures. Marie-Thérèse Dechaume, étant la présidente de la chambre syndicale de l’Hérault/Montpellier a déclaré qu’ils vont parvenir à les faire fermer. Elle a annoncé également qu’ils vendaient des cigarettes depuis toujours. Marie-Thérèse a prononcé ces mots tout en faisant illusion à la stricte réglementation qui pèse sur les brutalistes, face à une e-cigarette, jusqu’à présent, sans encadrement ni contrôle.

Au cours de la même journée, Norbet Chary, président de la fédération des brutalistes d’Alsace-Moselle s’est affronté avec le patron d’une boutique spécialisée de Metz, dans les pages du Républicain Lorrain !

Norbert Chary s’est interrogé sur le fait que si la cigarette électronique était considérée comme étant un antidote, elle serait en pharmacie normalement. De plus, le Parlement européen a classé ce produit dans la catégorie des produits non pharmaceutiques. Sans oublier les officines qui le réclament. Il met également l’accent sur le rôle des brutalistes dans la vente de la cigarette électronique en précisant qu’on en trouve dans les braderies ou au marché. Il insiste également sur le fait qu’il y ait un vide juridique qu’il faut combler.

Norbet Chary a mentionné aussi que leur profession est réglementée et qu’ils font un stage pour y renter en addition d’un autre qui a lieu tous les trois ans, au renouvellement de leur traité de gérance. Puis il conclut en affirmant que s’il faut y ajouter la cigarette électronique, ils seront capables de le faire.

 

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